lundi 26 janvier 2015

Câlins


Il y a une fille qui pour moi compte
J’n’en ai jamais parlé, quelle honte
Dès notre première rencontre
Elle m’a fait de l’effet
Elle est toujours aussi excitante
Mais, de’son amitié, je me contente
Quand elle va flirter en Italie
Y a 1m50 de vide dans ma vie

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin

Elle a une foule de problèmes
Du fait que les hommes qu’elle aime
N’étaient plus là à son trentième
Et quelque anniversaire
Elle est toujours à l’écoute
De nos soucis, de nos déroutes
Elle, les seules fois où elle s’épanche
C’est après deux trois boutanches

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin

Bientôt au son de la techno
Une sorte de beau Celentano
À son doigt passera l’anneau
Ça me fera bizarre
Bien sûr je n’souhaite que son bonheur
Mais j’aurais un pincement au cœur
Devant l’église, ne seront pas feintes
Mes larmes, à la dernière étreinte

Refrain
C’est une ‘tite nana géniale
Que l’on entend quand elle braille
Elle te dit tout ce qu’elle pense
Pour ce traitement, pas de dispense
Mais quand elle te prends dans ses bras
Tu t’sens comme au nirvana
En copain
Contre ses seins
Un câlin


J-L Overney, mi-septembre 2006

inspiré de ça.